À l’heure où nous écrivons cette tribune, veille de rentrée scolaire, nous envisagions d’évoquer la précarité des étudiant.e.s qui ont beaucoup souffert de la crise sanitaire et manquent cruellement de sérénité et de visibilité quant à leur avenir, voire même quant à leur subsistance pendant leur scolarité.
Mais en ce 1er septembre 2021, c’est la précarité de près de 500 réfugié.e.s, dont de nombreuses familles avec enfants, installé.e.s le jour même au Parc André Citroën qui nous interpelle. Ces personnes ne demandent qu’une seule chose, avec l’aide de l’association Utopia 56 dont nous saluons le travail, c’est le droit de vivre dans la dignité, de bénéficier d’un hébergement décent qui est de droit pour toute personne candidate à l’asile en France.
L’État doit remplir sa mission et Paris doit l’y aider !